BAUDELAIRE Charles: Biographie et analyses des oeuvres

BAUDELAIRE Charles: Biographie et analyses des oeuvres

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Au lecteur
L’auteur s’adresse au lecteur et l’interpelle sur la condition humaine.Il associe le comportement humain aux pêchés, avec une tendance à l’immoralité et au Mal. Cependant, le sentiment qui lui parait le plus détestable est le « spleen », la tristesse de l’ennui.

Liste complète et brefs résumés des poèmes de la section
TABLEAUX PARISIENS


LXXXVI. Paysage
L’auteur semble expliquer qu’il veut être au calme pour écrire, quelle que soit la saison.
LXXXVII. Le soleil
L’auteur énumère les différents effets du soleil sur son environnement : il fait pousser les cultures, rend les gens heureux, embellit les paysages...
LXXXVIII. A une mendiante rousse
Il parait décrire cette fille rousse comme une très belle jeune fille, qui semblerait avoir du succès si elle se montrait nue.
LXXXIX. Le cygne
I.L’auteur parait regretter qu’un ancien quartier parisien ait été détruit pour construire le Carrousel. Il semble traduire ce regret par l’intermédiaire des paroles d’un cygne.
II. Il parait traduire les effets du changement (notamment de la ville de Paris), où l’on se retrouve à se créer de nouveaux repères.
XC. Les sept vieillards
L’auteur décrit des vieillards qu’il a rencontrés dans la rue, un matin. Il les décrit comme des individus semblables.
XCI. Les petites vieilles
I. L’auteur décrit des femmes âgées, qui ont été flétries par le temps. Il semble les comparer à des petites filles.
II. Les femmes vieillies, paraissent, pour lui, des « femmes-muses » que le chagrin a anéanti.
III. Il décrit une petite vieille qui se pose sur un banc pour écouter la fanfare des soldats.
IV. L’auteur semble dire que les vieilles femmes sont mises à l’écart, alors que lui, connait leur potentiel et les apprécie.
XCII. Les aveugles
L’auteur décrit les non-voyants qui vivent dans le noir et regarde toujours en l’air. Il s’interroge sur ce qu’ils regardent.
XCIII. A une passante
Il décrit une femme qu’il a croisée brièvement dans la rue.
XCIV. Le squelette laboureur
I. Il parait faire une analogie entre les squelettes d’anatomie et les agriculteurs.
II. L’auteur s’interroge sur la symbolique de ces corps. Il pense qu’ils sont là pour montrer que le repos éternel n’existe pas.
XCV. Le crépuscule du soir
L’auteur assimile la tombée de la nuit à un commencement pour certains individus (voleurs, prostituées...) ; ainsi qu’à une fin pour d’autres (malades, ouvriers...).
XCVI. Le jeu
L’auteur relate un rêve, où il a vu le travail des prostituées en maison close.
XCVII. Danse macabre
Il semble décrire une femme maigre et très sombre que personne n’approche malgré son apprêtement. Il parait personnifier l’humanité, en montrant que ceux qui l’entourent sont tout aussi sombres qu’elle.
XCVIII. L’amour du mensonge
L’auteur décrit une femme et il s’interroge sur la réalité de sa beauté. Quoiqu’il en soit, elle lui plait.
XCIX.Je n’ai pas oublié, voisine de la ville,...
Il semble se remémorer l’une de ses maisons et les repas qu’il prenait avec sa voisine.
Il imagine que les morts se sentent seuls dans leur tombe et il encourage les familles à venir s’y recueillir.
CI. Brumes et pluies
L’auteur semble apprécier les saisons (printemps, automne,hiver), qui l’entourent dans la douce mélancolie.
CII. Rêve parisien
I. Il raconte un de ses rêves où tout était merveilleux.
II. Cette partie crée un contraste avec la précédente, car l’auteur se réveille et se rend compte de son environnement morne et sombre.
CIII. Le crépuscule du matin
L’auteur décrit le lever du soleil sur la ville, les habitants à cette heure et les paysages qui s’éveillent.




 

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